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Balades Cosmiques

litterature

The Witcher - Le making-of

27 Août 2020, 00:00am

Publié par Norrin Radd

The Witcher - Le making-of

     Netflix relance l’intérêt pour The Witcher alors même que le tournage de la saison 2, temporisé pour cause de COVID 19, a repris son cours. Trente minutes de making-of sont au programme, un peu tardivement diront les mauvaises langues. Les nouveaux abonnés peuvent bénéficier d'un mois d'abonnement à 0,99€.

     On ne va pas se mentir, malgré ses maladresses, la saison 1 réservait des moments à la hauteur de nos espérances, et on attend avec impatience la nouvelle saison, avec toujours plus de monstres et de gens tout nus.

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Lovecraft Country - Le trailer

28 Juillet 2020, 00:00am

Publié par Norrin Radd

Lovecraft Country - Le trailer

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La Princesse de Mars - La figurine Sideshow

26 Juillet 2020, 00:00am

Publié par Norrin Radd

La Princesse de Mars - La figurine Sideshow

     Le Cycle de Mars est l'oeuvre d'Edgar Burroughs, le papa de Tarzan. Cette saga surréaliste relate les aventures de John Carter, un soldat sudiste téléporté sur Mars. Bien que datée de 1912, l'oeuvre est assez surprenante, voire délirante, car l'auteur s'est appliqué à y caser tout ce qu'il avait de lire dans une aventure pulp. Ainsi, John Carter effectue des bonds de dix mètres (logique, la pesanteur est moins forte !), les martiens sont verts et dotés de quatre bras, et bien sûr on y trouve une princesse quasiment nue.

     Dire que le Cycle de Mars est une référence de la SF est peu dire. Véritable matrice de la SF moderne, la saga est aussi connue avoir été illustrée par Frazetta. Elle a également donné naissance à un film assez médiocre, et à un jeu de rôle et de figurines chez Modiphius.

     Et donc Sideshow a décidé d'exploiter tout le potentiel de sensualité de Dejah Thoris, la princesse de Mars, avec cette statuette qui, admettons-le, ressemble plus à une actrice porno qu'à un personnage de SF. Parce que chez Sideshow, quand on fait quelque chose, on ne fait pas semblant. C'est pour novembre et ça coûte la bagatelle de 550$.

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Cabal (Nightbreed) - Director's cut - La critique

18 Juin 2020, 00:00am

Publié par Norrin Radd

Cabal (Nightbreed) - Director's cut - La critique

     La découverte du director’s cut de Cabal, une version longue remontée longtemps considérée comme une Arlésienne, permet de constater l’impressionnante somme de scènes tournées par Clive Barker non retenues dans le montage final. On passe ainsi des 102 minutes de la version la plus courte à 155 minutes ! Et dans une version remasterisée d’après la pellicule originale, s’il-vous-plaît. L'histoire reste fondamentalement la même, mais il en résulte un film plus cohérent, où les motivations des personnages paraissent plus claires. Pourquoi Boone est-il obsédé par Midian ? Pourquoi le Dr Decker (excellent David Cronenberg) tient-il tant à le retrouver, et à exterminer les « Nightbreeds » ? Plus généreux également, alors même qu’il se montrait déjà très démonstratif avec sa mémorable galerie de monstres dans la version courte. La vision de Freaks modernisé, capharnaüm grotesque voulue par Barker prend ici toute son ampleur avec ses plans larges en plongée d’une cité souterraine grouillante de vie, traversée par des passerelles branlantes. Le serial killer est quant à lui plus actif, et incarne une menace plus présente, fil rouge guidant Boon vers Midian avant de le traquer sans relâche. Notons toutefois que l’ajout de scènes manquantes, étalonnées et harmonisées au reste du métrage, reste parfois un peu abrupt, peu subtil dans la manière dont elles sont insérées dans l’intrigue.

 

     Pour le reste, le film conserve les mêmes qualités et les mêmes défauts. Une thématique forte, où les monstres (allégorie des exclus, des parias de la société) se montrent intérieurement plus humains que l’élite hypocrite, l’intelligentsia froide et cynique (le psy dont l’aspect rassurant dissimule une nature de psychopathe). Une atmosphère de conte macabre à la tonalité unique, associée à une incroyable démonstration des meilleurs effets de maquillage de l’époque portée par la musique de Danny Elfman. Mais aussi et surtout des scènes terrifiantes, pourtant tournées avec trois fois rien (la poursuite dans le cimetière, les tortures de l’Inquisition que l'on peut voir en intégralité dans les bonus...). Pour ce qui est des défauts, les personnages acceptent trop facilement l’incursion du fantastique dans leur vie, les rapports amoureux sont mièvres au possible et semblent sortis d'un soap (problèmes récurrents chez Barker, aussi bien en tant qu'auteur que réalisateur), et le casting n’est pas toujours au top (l’acteur principal, surtout).

 

     Le propos de Barker, déjà présent dans la version courte, s’en trouve ici renforcé car le film apparaît dorénavant mieux construit et plus riche. L’intrigue progresse moins rapidement, la découverte de Midian et de sa population est mieux amenée et le génie de Barker, expert incontesté de la maîtrise des dualismes Éros et Thanatos, fascination et répulsion, peut enfin s’exprimer pleinement et librement. Cabal, à l'image de Hellraiser, demeure unique en son genre, un OVNI du cinéma horrifique.

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Métal Hurlant - Le retour !

14 Juin 2020, 00:00am

Publié par Norrin Radd

Métal Hurlant - Le retour !

     The future is now ! Le mythique magazine Métal Hurlant annonce son retour. Ça n'est pas pour tout de suite mais pour 2021, sous la houlette de Vincent Bernière et des Humanoïdes Associés. On nous annonce un format mook, à la mode en ce moment, et un tirage de 30 000 à 40 000 ex., ce qui paraît énorme. Un long article du Figaro est en ligne.

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