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Balades Cosmiques

comics

Général Zod - La figurine Prime One Studio

5 Mars 2019, 01:00am

Publié par Norrin Radd

Général Zod - La figurine Prime One Studio

     Et oui elle claque, comme toutes les figurines du constructeur. Cette effigie à l'image du Général Zod, l’ennemi juré de Superman, pose fièrement sur les vestiges d'une statue de l'Homme d'Acier. Plus d'infos et d'images sur la page Facebook.

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Hellboy - Le trailer (2)

1 Mars 2019, 01:00am

Publié par Norrin Radd

Hellboy - Le trailer (2)

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Batman - White Knight - La critique

27 Février 2019, 01:00am

Publié par Norrin Radd

Batman - White Knight - La critique

Batman

 

White Knight

 

 

  • Type : comic-book
  • Genre : super-héros
  • Scénario : Sean MURPHY
  • Dessins : Matt HOLLINGSWORTH
  • Éditeur : Urban Comics
  • Collection : DC Black Label
  • Date de parution : 26/10/2018
  • Format : couverture rigide / couleurs
  • Dimensions : 185 X 280 mm
  • Nombre de pages : 240
  • Prix : 22,50€
  • ISBN : 9791026814368

 

Résumé éditeur

 

       Dans un monde où Batman est allé trop loin, le Joker doit sauver Gotham ! Le Joker, ce maniaque, ce tueur, celui que l'on surnomme le Clown Prince du Crime... si Batman, le Chevalier Noir, sombre du côté obscur, pourquoi le Joker ne pourrait-il pas sortir de sa psychose et devenir le Chevalier Blanc ? C'est ce qui arrive après qu'un traitement inédit a guéri le Joker et le fait redevenir Jack Napier : un nouveau candidat à la mairie de Gotham !

 

Critique

 

     Véritable phénomène du moment, White Knight s'inscrit dans la continuité de cette nouvelle génération de comics déjà évoquée ici même avec Infamous Iron Man. Jusque-là, tout était simple dans le monde des super-héros, qui protégeaient la veuve et l’orphelin quand les super-vilains tentaient de faire main basse sur la ville. C'était avant que des auteurs de renom commencent à explorer les zones d'ombre des justiciers, tout en essayant de comprendre les motivations de leurs ennemis. Cette démarche a donné lieu à quelques perles du genre avec les classiques de Frank Miller et Alan Moore (The Dark Knight Returns, The Killing Joke...), ou plus récemment Luthor et Joker.

 

     White Knight, c'est justement le Joker, le "chevalier blanc", en opposition au Dark Knight, Batman. L'intrigue repose sur un postulat tout à fait étonnant : le Joker est guéri. Eh oui. L'ingestion d'un médicament expérimental a soigné sa folie. À l'opposé, un Batman en mode pétage de plomb, perturbé par l'agonie d'Alfred, ne contrôle plus sa violence et sa brutalité, au point d'exaspérer ses alliés. Du coup l'échiquier se renverse, et nous assistons ici à une inversion des valeurs où le Joker, qui reprend son apparence "civile" et son vrai nom de "Jack Napier", devient le héros de Gotham alors que Batman devient l’ennemi public numéro un.

 

     Non sans une certaine maestria, l'auteur recycle les éléments d'un univers foisonnant, soit tout de même 80 ans de background. Murphy s'autorise ainsi une relecture de la relation ambiguë liant Batman et un Joker peu réceptif aux charmes d'Harley Quinn, ainsi que la tension sexuelle suggérée par l'obsession qu'ils entretiennent l'un pour l'autre . Le scénario se permet même de reprendre des éléments des films de Burton (le vrai nom du Joker, donc, mais aussi les différentes batmobiles, ou la campagne électorale du Pingouin de Batman Returns...). L'ensemble est réellement captivant, porté par le trait percutant de Matt Hollingsworth, et l'intrigue parvient à rester constamment sur la brèche : le Joker est-il sincère ou simule-t-il sa soudaine bienveillance pour Gotham ? S'agit-il d'un nouveau plan machiavélique de sa part ? Batman est-il réellement taré ? (Ce dont on se doutait depuis un certain temps).

 

     Pour conclure, l'ensemble peut se résumer à l'envers du décor, les coulisses de Gotham où la violence des actions de Batman est rarement remise en cause dans les comics. La description minutieuse des dommages collatéraux d'un vigilante en croisade, doublée d'une interrogation légitime sur les conséquences de ses actes sur la population des bas quartiers. Autrement dit : la relecture totale des fondations d'un univers que l'on croyait indéboulonnable.

Batman - White Knight - La critique

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Infamous Iron Man T.1 - La critique

20 Février 2019, 01:00am

Publié par Norrin Radd

Infamous Iron Man T.1 - La critique

Infamous Iron Man

 

Tome 1

Rédemption

 

  • Type : comic-book
  • Genre : super-héros
  • Scénario : Brian Michael BENDIS
  • Dessins : Alex MALEEV
  • Éditeur : Panini Comics
  • Collection : Marvel Now !
  • Date de parution : 07/11/2018
  • Format : couverture souple / couleurs
  • Dimensions : 177 X 267 mm
  • Nombre de pages : 123
  • Prix : 16€
  • ISBN : 978-2-8094-7492-3

 

Résumé éditeur

 

     Tony Stark a disparu. Victor Von Fatalis considère cette absence comme un signe : il est temps pour lui de changer et de devenir le héros qu'il aurait toujours dû être. Mais qui va croire que l'ancien dictateur peut incarner le nouvel Iron Man ?

 

Critique

 

     On ne va pas se mentir, je lis beaucoup moins de comics qu'à une époque. Eh oui l'âge est passé, l'engouement n'est plus le même, les adaptations ciné que j'attendais fébrile durant des semaines ont maintenant tendance à me soûler (pour tout dire, je ne vais plus les voir). Autant dire qu'il fallait du lourd pour me ramener au bercail.

 

     La raison principale à ce revirement tient dans la présence du Dr Fatalis dans cet Infamous Iron Man, comme son titre ne l'indique pas. D'une part, le super-vilain a toujours été l'un de mes personnages favoris de par sa complexité, son intelligence et sa volonté surhumaines. Ensuite, il faut admettre que, bien souvent, l'exploitation du Dr Doom a donné lieu au meilleur de la production comics. Citons par exemple Docteur Fatalis (1966), Les Guerres Secrètes (1984), Fatalis Imperator (1987), Dr Strange et Dr Fatalis (1990), Fatalis (2001), ou 1234 (2001). Le dictateur de Latvérie aura tout fait : volé le pouvoir du Surfeur d'Argent, affronté et vaincu des dieux ou assimilés (Galactus et le Beyonder, pour ne pas les citer), dupé le Diable en personne chez lui, en Enfer... Véritable personnage nietzschéen, affranchi de sa condition de gitan orphelin pour devenir son propre dieu, Fatalis n'a été supplanté que par un seul personnage, son revers de médaille, son double positif, sa Némésis : Reed Richards.

 

     Tout a été fait, donc, avec Fatalis. Mais Bendis opère ici un très intéressant retournement de situation en inversant les rôles. Hé oui, Fatalis est devenu gentil. Après avoir réalisé tous ses projets (il a été le maître du monde durant un temps, a libéré sa mère des enfers, est même devenu un dieu), Fatalis souffre d'un sentiment d'insatisfaction, le syndrome de l'astronaute pourrait-on dire. Dès lors, que faire pour s'accomplir ? Contre toute attente, Fatalis a renoncé au pouvoir et endossé une nouvelle armure, inspirée de celle d'Iron Man, pour rendre la justice en traquant les super-vilains. On assiste ainsi à une situation inédite où un Victor Von Fatalis stoïque apparaît comme un être blessé, solitaire, touchant (ce qu'il a toujours été), dont l'extraordinaire potentiel a été gâché par une vie injuste. Personne ne croit en son soudain altruisme, la femme avec qui il pourrait construire une nouvelle vie le rejette et la Chose, personnage brutal et obtus, le poursuit comme un fantôme du passé. Tous les repères sont brouillés, les cartes redistribuées, et cette histoire s'inscrit parfaitement dans une époque où le manichéisme d'antan n'est plus de mise. Une seule question se pose alors : comment réparer les erreurs d'une vie consacrée au narcissisme et à l'égoïsme ? La rédemption est-elle encore possible ?

 

     Je n'en dirai pas plus car les surprises sont nombreuses, et Bendis s'inscrit astucieusement dans la continuité en invoquant nombre de personnages liés à l'histoire du Latvérien et aux comics précités. Fatalement (sans jeu de mot), Fatalis devra s'interroger sur sa propre nature, et se demander s'il est véritablement fait pour ce nouveau rôle de super-héros. La suite en mai... (Hé oui c'est loin).

Infamous Iron Man T.1 - La critique

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Star Wars de retour en kiosque

6 Février 2019, 01:00am

Publié par Norrin Radd

Star Wars de retour en kiosque

     Altaya nous propose une nouvelle collection en kiosque, selon la méthode habituelle : premier numéro pas cher, les suivants un peu plus, tarif avantageux et cadeaux en cas d'abonnement (notez au passage qu'en s'abonnant avant le 26 février avec le code PROMOSTARWARS, un thermos est offert).

     Celle-ci concerne les plus récents comics Star Wars avec les trois séries lancées par Marvel en 2015 et déjà éditées chez Panini : Star Wars, Princesse Leïa et Dark Vador (plus des spin-offs), destinées à combler les vides de l'univers étendu. Les titres ont été confiés à des auteurs reconnus comme Jason Aaron, Mark Waid ou John Cassaday, qui leur confèrent un gage de qualité et permettent de dissiper les suspicions d'opportunisme qui pourraient planer sur l'entreprise. Clairement, il ne s'agit pas d’adaptations bâclées pondues par des auteurs inconnus pour surfer sur la nouvelle saga Star Wars. Leur meilleur argument repose sur les chiffres de vente du premier tome, écoulé à un million d'exemplaires aux USA... Bref, ça vaut le coup d’œil au moins pour le premier numéro, vu son prix.

     On connaît déjà les prochains titres. Le N°1 est vendu 1,99€, le N°2 6,99€, et les suivants 12,99€. 

  • Skywalker Passe à l'Attaque 
  • Le Réveil de la Force
  • Vador
  • Princesse Leïa
  • Chewbacca
  • Rogue One
  • L'Escadron Black
  • Dark Maul

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