Angers Geekfest 2025 : le bilan final
Et voilà, c’est fini ! Je termine sur les rotules, avec quelques kilos en moins et des heures de sommeil à rattraper, mais c’était bien ! Je ne suis pas resté jusqu’à la fin cette année, car mal aux pieds, à la tête, plus de batterie, ça commence à se vider une heure avant la fermeture de 19h, et en plus on évite les bouchons, et pourtant : record de photos battu ! Et en plus, j’ai fait un effort, les photos sont plus nettes.
Encore merci aux cosplayeurs et cosplayeuses qui ont joué le jeu, surtout dans la mesure où j’ai tendance à leur demander de prendre la pose aux moments les moins opportuns. Pour ma défense, ça n’est pas toujours évident dans l’agitation générale, et on doit parfois leur courir après dans la foule. Le but étant de les présenter sous le meilleur jour, pour récompenser leur investissement. Notons à mon palmarès quelques trophées (désolé pour la formule pas très élégante) : une Dame Blanche, un Batman & Robin, un Thanos, un Sub-Zéro de Mortal Kombat (j’ai raté Scorpion, qui était là aussi), un Shredder en duo avec une Maléfique, plein de Star Wars, une sympathique 2B de NieR : Automata (qui a gentiment accepté de prendre la pose alors qu’elle consultait son portable et qu’on était au milieu du passage, c’est ce que j’appelle un moment inopportun), bien sûr le coffre vivant (qui vous rendait une pièce si vous lui donniez un biscuit) et une Dr Doomette qu’on aperçoit en arrière-plan et que j’aurais préféré avoir dans de meilleures conditions.
Je ne vous cache pas qu’on a parfois de vivre un trip sous LSD, entouré de gros chats qui marchent et de licornes. Mais c’est aussi ce qui fait le charme de ce festival surréaliste. Mention spéciale au concert de Thanos...
Un dernier mot sur l’organisation, qui était déjà remarquable dès la première édition. J’ai déjà abordé la reconfiguration des espaces, mais j’ai beaucoup apprécié l’ouverture d’autres entrées face aux parkings, qui évitent aux cosplayeuses en talons de marcher des centaines de mètres. C’était un point noir du festival, il est réglé. Le filtrage reste peut-être un peu pointilleux (bouteilles de plus de 50cl interdites), mais n’oubliions pas qu’il s’agit d’un lieu public fréquenté par des milliers de mineurs (18 000 visiteurs !), on peut comprendre un certain zèle.
Merci à la sécurité qui patrouille discrètement, aux équipes qui gardent les toilettes propres pendant deux jours, aux bénévoles, encore une fois aux cosplayeurs et cosplayeuses, et à l’année prochaine !