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(Presque) toute l'actualité de la culture populaire.
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Le projet de série TV dans l'univers de Judge Dredd semble en bonne voie : Karl Urban est en négociation pour quelques apparitions, une affiche a été publiée et les premiers concept arts sont maintenant en ligne. Une interview du producteur nous confirme également la volonté générale de livrer un produit correspondant aux attentes des fans, comme pu l'être l'excellent film sorti chez nous directement en DVD.
OK, Batman on adore, mais entre les films, les jeux vidéos, les jeux de plateau (encore un à paraître à la rentrée), on sature un peu... Soyons de bonne foi : cette nouvelle collection d'Eaglemoss a cependant le mérite de ne pas nous proposer des rééditions de classiques, mais plutôt des oeuvres assez récentes et pas forcément connues (cf. la liste des numéros prévus ci-dessous). Ca se passe ici.
Personne n'attendait grand chose de Deadpool et, curieusement, ce genre de films auxquels personne ne croit où les studios laissent les coudées franches au réalisateur s'avèrent parfois d'excellentes surprises, il suffit de voir Les Gardiens de la Galaxie pour s'en convaincre.
Ainsi, Deadpool parvenait à retranscrire l'humour décalé et la permanente mise en abîme d'un comic-book où le héros n'hésite pas à s'adresser à son lecteur, mais en plus de cela réussissait l'exposition de son personnage principal et nous impliquait dans l'aspect dramatique de son histoire, là où des films à la notoriété et au budget autrement plus conséquents se plantent lamentablement (non, je n'ai pas parlé de Spider-Man - Homecoming).
Tout cela pour dire qu'avec la même équipe aux commandes, Deadpool 2 s'avère prometteur, surtout après l'annonce de la présence de la mercenaire chanceuse Domino (récemment dévoilée) et du voyageur temporel Cable, fils de Cyclope, interprété par Josh Brolin.
On attendait beaucoup de son aspect badass, et le moins que l'on puisse dire c'est qu'on n'est pas déçu ! Même s'il est un peu maigrichon, son look global assure un max.
Personne n'attendait grand chose de Deadpool et, curieusement, ce genre de films auxquels personne ne croit où les studios laissent les coudées franches au réalisateur s'avèrent parfois d'excellentes surprises, il suffit de voir Les Gardiens de la Galaxie pour s'en convaincre.
Ainsi, Deadpool parvenait à retranscrire l'humour décalé et la permanente mise en abîme d'un comic-book où le héros n'hésite pas à s'adresser à son lecteur, mais en plus de cela réussissait l'exposition de son personnage principal et nous impliquait dans l'aspect dramatique de son histoire, là où des films à la notoriété et au budget autrement plus conséquents se plantent lamentablement (non, je n'ai pas parlé de Spider-Man - Homecoming).
Tout cela pour dire qu'avec la même équipe aux commandes, Deadpool 2 s'avère prometteur, surtout après l'annonce de la présence de la mercenaire chanceuse Domino (récemment dévoilée) et du voyageur temporel Cable, fils de Cyclope, interprété par Josh Brolin.
On attendait beaucoup de son aspect badass, et le moins que l'on puisse dire c'est qu'on n'est pas déçu ! Même s'il est un peu maigrichon, son look global assure un max.
Il annonçait la présence de Warlock, le justicier universel au pouvoir dément, dans Les Gardiens de la Galaxie Vol. 2 : c'est le cocon, d'Adam Warlock entraperçu dans le film. Il est l'oeuvre de Ian Joyner qui s'est inspiré, comme tout le monde, de l'oeuvre de Giger.
