/image%2F1438472%2F20150123%2Fob_74883f_norrin-radd.jpg)
(Presque) toute l'actualité de la culture populaire.
/image%2F1438472%2F20150123%2Fob_25977a_terre.jpg)
/image%2F1438472%2F20201123%2Fob_17a715_death-goddess-izanami.jpg)
En voilà un titre qui en jette. Je suis tombé un peu par hasard sur ces petites merveilles sur Kickstarter. Il s'agit de deux divinités du shintoïsme, si j'ai bien compris, dans une version assez hard-core. Ca coûte tout de même 40€, et encore juste pour le buste, et 180€ pour le couple avec les corps complets. Mais bon sang, c'est beau.
/image%2F1438472%2F20201122%2Fob_aae8f7_the-mandalorian-saison-2-episode.jpg)
Un épisode assez décevant, disons-le tout net, qui regroupe un peu tous les défauts de la série. C'est donc reparti pour une énième attaque-commando, à base d'attaque de base (rires) comme prétexte aux retrouvailles avec des personnages connus. La réalisation est signée Carl Weathers (Monsieur Apollo Creed) qui peine à rendre tout ça palpitant, là où les précédents réalisateurs réussissaient au moins à sublimer le fond par la forme. Les scènes s'étirent comme des chewing-gums pour remplir les trente-cinq minutes, on les a toutes déjà vues, et au bout d'un moment on en a un peu marre de voir des gens marcher dans des couloirs ou lever les bras en criant dès qu'il se passe quelque chose. Pour un peu, on dirait une réalisation de Georges Lucas (re-rires).
On nous refait également le coup du deus ex machina, cette fois totalement improbable (SPOILER : Mando file en jet-pack récupérer son vaisseau, déjà réparé, embarque au passage baby Yoda, puis revient aider ses amis en fuite à bord d'un appareil plus rapide). On nous refait aussi le coup des miettes d'infos distillées à la fin pour faire vaguement avancer l'intrigue, et alimenter le buzz sur le net. Vue la tournure des choses, on se dirige vers un final à la façon de la saison un, où toute l'intrigue se débloquait dans les deux derniers épisodes.
/image%2F1438472%2F20201114%2Fob_7d1dc5_the-mandalorian-episode-3.jpg)
Ce troisième épisode est assez court (32 mn), assez axé sur l’action, avec un voyage en bateau plutôt original pour du Star Wars. Mando poursuit son périple sur la voie de la lose (vaisseau en lambeaux, embuscade...) à la recherche d’autres Mandaloriens, qui eux-mêmes le mèneront à des jedis à qui il pourra confier sereinement baby Yoda. Encore des Mandaloriens, donc, avec une petite surprise au passage. A l’occasion, on en apprend un peu plus sur la culture mandalorienne, pas aussi basique et cohérente qu’on l’aurait cru.
Les références sont toujours là, le bestiaire Star Wars est bien exploité, quelques plans font avancer le schmiblick (jedi, sabre noir...) mais l’ensemble est un peu faible, même si la réalisation est toujours impeccablement torchée (atterrissage en catastrophe, attaque commando d’un vaisseau en vol...). Ca avance toujours aussi doucement, il est temps de passer la seconde !
/image%2F1438472%2F20201113%2Fob_e333d4_darth-talon-1.jpg)
/image%2F1438472%2F20201113%2Fob_b1fe82_darth-talon-2.jpg)
/image%2F1438472%2F20201113%2Fob_8b3eeb_darth-talon-3.jpg)
/image%2F1438472%2F20201113%2Fob_d2a43f_darth-talon-4.jpg)
Georges Lucas nous révèle aujourd'hui ses grands projets pour la nouvelle trilogie qu'il ne fera jamais, ayant vendu les droits de Star Wars à Disney. On peut être dubitatif, vu qu'elle entre en contradiction avec ses précédentes déclarations (il comptait faire un film sur les midi-chloriens, mais au bout du compte c'était peut-être une blague). Celle-ci tournait autour de Darth Maul, revenu d'entre les morts après avoir été tranché en deux par Obi-Wan, et de son eleve la Twi-lek Darth Talon, déjà vue dans les comics. Et pour l'occasion, des concept arts ressortent et, pour le coup, on découvre une vision bien plus dark et sexy que le machin de Disney.
/image%2F1438472%2F20201111%2Fob_6aa11c_animeland-232.jpg)
Les temps sont durs pour tout le monde, y compris pour le mag historique des mangas et de la japanimation. Animeland réagit en lançant une nouvelle formule via un abonnement en financement participatif sur Ulule. Vos pouvez bien sûr acheter le dernier numéro seul à prix préférentiel, ou vous abonner pour au moins quatre numéros (eh oui c'est un trimestriel).
