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Balades Cosmiques

Rambo - Last Blood - Le trailer (2)

20 Août 2019, 00:00am

Publié par Norrin Radd

Rambo - Last Blood - Le trailer (2)

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Once Upon a Time in Hollywood - La critique

18 Août 2019, 00:00am

Publié par Norrin Radd

Once Upon a Time in Hollywood - La critique

     Pour la faire courte, Once Upon... est le dernier film de Tarantino. Cette espèce d’OVNI cinématographique se veut une sorte de conte, comme son titre l’indique, relatant le microcosme d’Hollywood dans les années soixante. Comme chacun sait, une période charnière de l’Histoire des USA qui débuta par l'assassinat de Kennedy, et se conclut par le premier pas de l’homme sur la Lune. La fin d’une époque naïve marquée par le massacre de Sharon Tate alors enceinte, l'épouse de Roman Polanski, mais nous y reviendrons. Pour cela, le film prend pour fil rouge la carrière de Rick Dalton (Leonardo Di Caprio), un acteur de seconde zone épaulé par son homme de main, doublure cascade et meilleur (seul ?) ami (Brad Pitt, qui ressemble de plus en plus à Robert Redford).

 

     C’est un film de Tarantino, avec le « style Tarantino », ses qualités et ses défauts. Pour le meilleur, on se souvient de la narration éclatée innovante de Pulp Fiction, et pour le pire de la progression laborieuse de Jackie Brown, avec ses gros plans gênants et ses dialogues interminables. Malheureusement, Tarantino reprend ici le pire de ses « tics » de mise en scène. Les scénettes gratuites sans valeur ajoutée, les dialogues sans fin et les effets "gadgets" se succèdent via une narration incohérente et déstabilisante. Par exemple, le film s'extrait à un moment des longueurs d'une intrigue stagnante via une accélération des événements contée par une voix-off sortie de nulle part. Une partie essentielle de la biographie de Rick Dalton nous est ainsi balancée en mode Scorcese, alors qu'il ne se passait pas grand chose depuis deux heures.

 

     Au final, bien qu'on sente la volonté de mise en abîme, avec son mix d'extraits de films réels, reconstitués ou originaux, le film ne va pas bien loin. L’histoire de cet acteur sur le déclin est vue et revue, et son statut d'alibi au décor hollywoodien des sixties (magnifiquement reconstitué, ceci dit) n'en fait pas une intrigue passionnante. Reconnaissons tout de même qu’il est toujours sympathique d’assister à une soirée de la Playboy Mansion, de (re)voir un Steve Mac Queen ou un Bruce Lee (ici totalement ridiculisé) plus vrai que nature.

 

     Cependant, le film trouve ses moments de grâce quand il s’attarde sur la « famille Manson ». Tarantino filme avec maestria la secte à la manière d’un film d’horreur ancré dans l’Amérique profonde, où la menace apparaît en pleine lumière (on pense immédiatement à Massacre à la Tronçonneuse), d’une façon extrêmement angoissante. Les jeunes adeptes lobotomisées sont au naturel, sans maquillage, d’une crédibilité à faire peur. Pour le coup, on aurait préféré que le film dure une heure de moins, et qu’il se consacre entièrement à Charles Manson et à ses "filles", au lieu de nous montrer d’interminables tournages de western, ou Leonard Di Caprio se saouler et tousser.

 

     Pour finir sur un aspect qui m’a beaucoup dérangé, en essayant de ne pas trop spoiler, le film se permet de réécrire l’histoire en décrivant, non pas la réalité des faits concernant le meurtre de Sharon Tate, mais la vision fantasmée de l’auteur avec un spectacle grand-guignolesque très « tarantinesque ». En somme, le déroulé des événements tel qu’il l’aurait souhaité, et non ce qu’il s’est réellement passé. La réappropriation d’un drame extrêmement gênante, même si rappelons-le, il s’agit d’un conte, et non d’un documentaire.

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Etherfields Board Game

8 Août 2019, 00:00am

Publié par Norrin Radd

Etherfields Board Game

     Attention, là on est sur du lourd. Etherfields a été financé en quelques minutes, et il ne reste que sept heures pour participer à son financement. Ce jeu de plateau au thème dark onirique assez étrange et original propose un matériel de jeu incroyable, et des règles en français s'il-vous-plaît. S'agissant d'un projet Awaken Realms, cela ne nous surprendra pas.

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La Fin du Monde arrive chez Edge

6 Août 2019, 01:00am

Publié par Norrin Radd

La Fin du Monde arrive chez Edge

     L'éditeur du jdr Star Wars et bientôt L'Appel de Cthulhu nous propose une nouvelle gamme sympatoche puisqu'elle propose via 3 jeux différents de jouer la fin du monde. L'une causée par des zombis, l'autre par la colère des dieux, et la dernière par une invasion alien. J'en avais déjà un peu parlé ici-même mais le principe de la mise en abîme (la fin du monde intervient dans le quotidien des joueurs) m'a l'air super intéressant. En publiant les 17 premières pages, Edge enfonce le clou car la maquette et les illustrations sont de très bonne facture. Pour l'instant, seuls les PDF sont dispos au prix unitaire de 15€.

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DeepSyx

6 Août 2019, 00:00am

Publié par Norrin Radd

DeepSyx

     Petit coup de pub pour un jeu de rôle qu'il a l'air bien. DeepSyx, c'est du dungeon crawler. La base du jdr. On progresse dans un souterrain en évitant des pièges, en affrontant des créatures et en cherchant des trésors. DeepSyx est un jeu amateur fait par un passionné, James Tornade, qui a déjà une petite production à son actif. Concrètement, cela signifie qu'il a gardé le meilleur du genre pour aboutir à un système simple et rapide à prendre en main. 5 mn pour la création et de perso et zou, en route pour l'aventure.

     C'est vendu en impression à la demande sur Lulu.com, et pas cher (7,90€ pour le PDF, 12,90€ pour la version imprimée). Par contre, conseil d'ami : Lulu publie régulièrement des codes pour ne pas payer les frais de port, patientez donc un peu.

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