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Balades Cosmiques

Three... Two... One... Zero... Évolution de la politique éditoriale

10 Octobre 2017, 00:00am

Publié par Norrin Radd

Three... Two... One... Zero... Évolution de la politique éditoriale

     Oui je sais, ça paraît pompeux comme ça, mais c'est assez simple en fait.

     Initialement, Balades Cosmiques a été créé pour publier des critiques BD mais, vous l'avez constaté si vous suivez l'actualité du blog depuis un moment, son contenu s'est peu à peu étendu au cinéma, à la littérature, aux figurines, jeux de société...

     Les thématiques sont progressivement sorties du cadre pour correspondre à des "coups de cœur" en fonction de l'actu, il paraît donc nécessaire de recentrer un peu tout ça.

     Dans Balades Cosmiques, il sera désormais question de l'actualité de la culture populaire, dans son champ le plus vaste. Nous restons donc dans le domaine artistique, pas question de vous parler du nouveau grille-pain geek en forme de R2D2, d'autres sites le font très bien (comme Le Journal du Geek par exemple).

     L'avantage ? Et bien nous pourrons aborder plein de choses que je laissais de côté auparavant. L'inconvénient ? Ça me fait plus de boulot... Mais bien sûr, toujours : uniquement du consistant, de l'info, pas de rumeurs ou de teasers de trois secondes.

     A cette occasion, le compte Facebook devient une page Facebook, les infos ne seront donc plus relayées sur le profil mais sur la page FB.

     Et nous commençons très fort avec le prochain article dédié à Star Wars !

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Justice League - Le trailer (4)

8 Octobre 2017, 00:00am

Publié par Norrin Radd

Justice League - Le trailer (4)

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Joan of Arc - Le trailer

7 Octobre 2017, 00:00am

Publié par Norrin Radd

Joan of Arc - Le trailer

Le lancement de la campagne Kickstarter approche (le 10 octobre), en attendant un trailer est en ligne pour donner un bon aperçu de ce que sera le jeu. On vous tient au courant pour la suite.

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Blade Runner 2049 - La critique

5 Octobre 2017, 00:00am

Publié par Norrin Radd

Je ne vous ferai pas l'offense de vous expliquer ce que signifie "JOI".

Je ne vous ferai pas l'offense de vous expliquer ce que signifie "JOI".

     À l’annonce de la mise en chantier d'une suite au chef-d’œuvre de Ridley Scott, une stupéfaction générale mêlée de perplexité envahit les fans du monde entier. Une séquelle ? Mais pour quoi faire ? L’histoire de Deckard, chasseur de Réplicants – ces simili-humains clandestins – se terminait sur la fermeture d’une porte d’ascenseur, sans que l’on ne sache véritablement s’il comptait exécuter Rachel, la Réplicante qui l’accompagnait, tout en se demandant s’il n’était pas lui-même un Réplicant utilisé pour traquer ses congénères. La conclusion n’appelait pas de suite, et c’était très bien comme ça.

 

     Pourtant, une équipe de choc était là pour nous rassurer : Ridley Scott à la production, le scénariste du film original sur le script, Denis Villeneuve à la réalisation, Ryan Gosling dans le rôle-titre… Puis le premier trailer est tombé, et l'envie nous vint de donner sa chance au long-métrage. Alors, bonne ou mauvaise surprise ? Un peu des deux, mon Capitaine…

 

     Blade Runner 2049 débute comme une note d’intention : paradoxalement, Denis Villeneuve restera dans la lignée de Blade Runner, tout en prenant son contre-pied en imprimant sa marque. Le film original commençait sur un œil ouvert ? Sa suite nous présente une paupière fermée. Adieu le plan large d’un Los Angeles nocturne surpeuplé en flammes, l’introduction survole une immense exploitation agricole hivernale déserte et immaculée, en plein jour. On n’a jamais vraiment su si Deckard était un Réplicant, alors que l’Agent K se fait traiter de gueule d’humain dès son retour au commissariat.

 

     Par la suite, et plutôt courageusement en une époque du "tout, tout de suite", le film affiche constamment sa volonté de suivre les pas de son illustre prédécesseur, dans son atmosphère contemplative et hypnotique illustrée par la musique synthétique planante de Hans Zimmer (l’intrigue se déroule lentement, peut-être trop (2h45 !), mais se refuse constamment à la mode des montages nerveux ponctués de scènes d’action), ainsi que dans le développement de thèmes multiples et complexes (quête d’identité, libre-arbitre, citoyens de seconde zone, solitude…). Très vite, nous constatons que le propos sera intelligent et subtil, mais on n’en attendait pas moins de la part du réalisateur de Premier Contact.

 

     Ainsi, entre deux passages obligés (enseignes lumineuses, le test de Voigt-Kampf considérablement amélioré : nous avons fait un bond de trente ans dans le futur…), le film prend le temps d’exposer des idées et concepts en totale cohérence avec l’original, tout en proposant une réflexion sur notre époque dans une pure optique cyberpunk (l'urbanisme anxiogène, l’immense solitude du personnage principal, un PDG atteint du Complexe du Messie, des multinationales en quête de toujours plus de main d'oeuvre à bon marché, exploitation des enfants, peur de l'immigration massive, sexe virtuel…). Si Blade Runner anticipait sur notre époque, nous mettant en garde contre les dangers inhérents à l'évolution de notre civilisation, Blade Runner 2049 dresse un état des lieux, et chaque plan peut être interprété à l'infini (comme la musique du "smartphone" de l'Agent K qui ne cesse d'interrompre ses conversations, laissant faussement croire qu'il profite d'une vie sociale et affective).

 

     Colombo futuriste tenant plus du zombi qu'autre chose, Gosling traîne ainsi sa mine de Droopy dans des rues bondées, sous la pluie, et se contente d’accomplir sa tâche en bon Réplicant, réplique de l’homme occidental du troisième millénaire. Il vit avec l'avatar holographique d'une gentille "housewife" attentionnée et apprécie de se laisser dominer par l'hologramme gigantesque et fascinant d'une techno-déesse aux allures d'actrice porno inaccessible. Mais face aux "vraies" femmes de chair et d'os, il demeure indifférent, et ignore le racolage des putes croisées dans la rue ou les avances de sa supérieure ivre, dont on devine également le manque d’affection... Entre solitude et problèmes de communication (thèmes déjà abordés dans Premier Contact) K suit ainsi le cours d'une vie morose, jusqu’au jour où vient le moment inexorable de se poser la seule véritable bonne question : « Qui suis-je ? ». Et le script se paye même le luxe de nous emmener sur une fausse piste.

 

     Après Ça, nous découvrons un nouveau film audacieux, où la production a accordé sa confiance à un véritable auteur avec un propos et une vision de son époque, capable de nous faire partager son univers. Et le résultat est là. Il y aurait encore beaucoup à dire, au risque de spoiler, sur le lien entre le premier plan et la dernière scène, ou sur les nombreux indices ponctuant ce film qui, certes n’est pas parfait : il se mérite, et curieusement certaines idées sont peut-être trop développées (la « femme » du héros), Harrison Ford cachetonne, le final n’est pas à la hauteur, etc.  mais tout de même... On ne voit pas de tels films de SF tous les jours. Et quand on sait que Denis Villeneuve s'apprête à adapter Dune, ça laisse songeur...

L'Agent K en pourparler avec des dames.

L'Agent K en pourparler avec des dames.

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Twisting Catacombs - The Minotaur Horde

3 Octobre 2017, 03:00am

Publié par Norrin Radd

Twisting Catacombs - The Minotaur Horde

On termine sur de la figurine maousse avec cette horde. La taille des figurines et les finitions sont démentes, ça se passe de commentaires.

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